 | France - 1828 - 458 pages
...Lonoven : ce qui fut fort heureux pour nous, car nous étions postés de manière que nous aurions été battus sans pouvoir nous remuer, notre gauche...étant en l'air, et notre droite enfoncée dans un cul-de-sac entre deux ruisseaux. Après avoir passé la Meuse, nous aurions dû rester du côté de... | |
 | Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - France - 1828 - 466 pages
...Lonoven : ce qui fut fort heureux pour nous, car nous étions postés de manière que nous aurions été battus sans pouvoir nous remuer, notre gauche...étant en l'air, et notre droite enfoncée dans un cul-de-sac entre deux ruisseaux. Après avoir passé la Meuse, nous aurions dû rester du côté de... | |
 | Claude Bernard Petitot - France - 1828 - 484 pages
...Lonoven : ce qui fut fort heureux pour nous, car nous étions postés de manière que nous aurions été battus sans pouvoir nous remuer, notre gauche...étant en l'air, et notre droite enfoncée dans un cul-de-sac entre deux ruisseaux. Après avoir passé la Meuse, nous aurions dû rester du côté de... | |
 | France - 1828 - 454 pages
...Lonoven : ce qui fut fort heureux pour nous, car nous étions postés de manière que nous aurions été battus sans pouvoir nous remuer, notre gauche...étant en l'air, et notre droite enfoncée dans un cul-de-sac entre deux ruisseaux. Après avoir passé la Meuse, nous aurions dû rester du côté de... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - France - 1840 - 756 pages
...Lonoven : ce qui fut fort heureux pour nous, car nous étions postés de manière que nous aurions été battus sans pouvoir nous remuer, notre gauche...étant en l'air, et notre droite enfoncée dans un cul-de-sac entre deux ruisseaux. Après avoir passé la Meuse , nous aurions dû rester du côté de... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1828 - 456 pages
...Lonoven : ce qui fut fort heureux pour nous, car nous étions postés de manière que nous aurions été battus sans pouvoir nous remuer, notre gauche...étant en l'air, et notre droite enfoncée dans un cul-de-sac entre deux ruisseaux. Après avoir passé la Meuse, nous aurions dû rester du côté de... | |
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... défilé de Peer, moyennant quoi la bataille étoit inévitable sur les bruyères ; mais les députés des Etats-généraux n'y voulurent jamais consentir, non plus qu'à nous attaquer dans notre camp de Lonoven : ce qui fut fort heureux pour nous,... 