Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours ; Quand... Louis Napoleon and Mademoiselle de Montijo - Page 127by Imbert de Saint-Amand - 1900 - 504 pagesFull view - About this book
| Alphonse de Lamartine - French poetry - 1823 - 294 pages
...j ours d'automne , Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux; L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| M. J. Janin - French poetry - 1829 - 326 pages
...jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux; L'amitié te trahit , la pitié t'abandonne , Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein , qu'elle t'ouvre toujour : Quand tout change... | |
| Fleurs - 1834 - 264 pages
...jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux : L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 378 pages
...les jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux; L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 354 pages
...jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux ; [/amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 754 pages
...jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux ; L'amitié te trabit, la pitié t'abandonne , Et , seule , tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| Alphonse de Lamartine - 1849 - 388 pages
...jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux ; L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| Alphonse de Lamartine - 1857 - 408 pages
...sombresetcourtscommelesjoursd'automno, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux. L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| Alphonse de Lamartine - 1860 - 568 pages
...les jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux; L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
| Alphonse de Lamartine - 1860 - 408 pages
...jours d'automne, Déclinent comme l'ombre au penchant des coteaux. L'amitié te trahit , la pitié t'abandonne , Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux. Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change... | |
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