Collection complete des memoires relatifs a l'histoire de France, depuis le regne de Philippe Auguste jusqu'au commencement du dix-septieme siecleFoucault., 1828 - France |
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affaires armée arriva assez attaquer auroit avoient avoit ayant bataille bataillons Boufflers brigadier campagne canon cardinal cavalerie cents chevaux chose Cologne commander commandoit comte côté cour d'Angleterre d'Espagne d'esprit Dauphin dessein devoit dire donna duc de Berwick duc de Lorraine ennemis envoya escadrons étoient étoit faisoit falloit Fare fille firent Flandre fût gens guerre Hollande infanterie Irlande jours l'ancien éditeur l'armée l'électeur l'Empereur laissa Lauzun lieutenant général long-temps Louvois Luxembourg madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné mademoiselle Maëstricht maître Majesté marcher maréchal de Berwick maréchal de Boufflers maréchal de camp maréchal de Villeroy marquis mée mille hommes milord ministre Monseigneur Monsieur mort n'avoit n'étoit n'y avoit Note de l'ancien officiers ordre paix passer pendant personne Philisbourg place poste pouvoit prince d'Orange princesse prit Reine Rhin royaume s'en s'étoient Seignelay seroit siége temps-là Tirconel Très-Chrétien troupes trouva Turenne vaisseaux Vendôme venoit vint vouloit voulut
Popular passages
Page 68 - Je ne puis vous dire l'excès de l'agrément de cette pièce. C'est une chose qui n'est pas aisée à représenter, et qui ne sera jamais imitée ; c'est un rapport de la musique, des vers, des chants, des personnes, si parfait et si complet qu'on n'y souhaite rien.
Page 68 - On est attentif, et on n'a point d'autre peine que celle de voir finir une si aimable pièce. Tout y est simple, tout y est innocent, tout y est sublime et touchant. Cette fidélité de l'histoire sainte donne du respect ; tous les chants convenables aux paroles, qui sont tirées des Psaumes ou de La Sagesse et mis dans le sujet, sont d'une beauté qu'on ne soutient pas sans larmes.
Page 12 - ... trop suspects. Le Roi se résolut d'y envoyer Chamlay , homme en qui M. de Louvois a une très-grande confiance , et qu'il emploie volontiers. Le Roi le chargea, d'une lettre de sa main pour le Pape , avec ordre de n'avoir aucun commerce avec M. de Lavardin son ambassadeur, ni avec M. le cardinal d'Est rées, qui faisoit toutes les affaires du Roi.
Page 66 - Elle ordonna au poète de faire une comédie, mais de choisir un sujet pieux ; car, à l'heure qu'il est, hors de la piété point de salut à la cour , aussi bien que dans l'autre monde.
Page 263 - ... dans la guerre et dans les dépenses qui l'ont ruiné, et s'il eût vécu jusqu'à ce tempsci, il avoit des talens propres à soutenir le poids des affaires. De tout ce que j'ai dit , on peut juger de lui et prononcer hardiment que c'étoit un homme capable de bien servir dans le ministère , mais non pas de gouverner.
Page 97 - Convention d'Ecosse lui avoit aussi envoyé la couronne , quoique le Roi eût encore des partis fort puissans dans le nord de l'Ecosse. Le prince d'Orange avoit fait assembler le parlement , qui lui avoit accordé généralement tout ce qu'il lui...
Page 117 - ... à portée d'incommoder l'Alsace pendant l'hiver. On fit environ quatre mille prisonniers dans toutes ces places, et on les envoya en France, où ils furent dispersés dans les villes. Dans le temps que l'on commença à parler du...
Page 67 - Enfin l'on y porta un degré de chaleur qui ne se comprend pas, car il n'y eut ni petit ni grand qui n'y voulût aller; et ce qui devoit être regardé comme une comédie de couvent devint l'affaire la plus sérieuse de la cour. Les ministres, pour faire leur cour, en allant à cette comédie, quittoient leurs affaires les plus pressées. A la première représentation, où fut le roi, il n'y mena que les principaux officiers qui le s-uivent quand il va à la chasse. La seconde fut consacrée aux...
Page 6 - Vénitiens dans la guerre qu'ils avoient contre les Infidèles ; on peut même soutenir le parti qu'il a pris sur l'affaire des franchises , et il est excusable d'avoir été offensé contre les ministres de France sur tout ce qui s'est passé dans les assemblées du clergé, car c'est son autorité , qui est la chose dont l'humanité est plus jalouse, que l'on attaque; et quand l'humanité n'y...
Page 35 - Il demanda en partant son canon, et trois chariots de pain qu'on lui avoit promis ; mais il n'eut ni l'un ni l'autre. Quand la garnison fut à la petite ville où elle devoit aller coucher, elle fit un complot de la piller, sous prétexte qu'elle lui devoit encore de l'argent sur ce qui leur avoit été assigné pour leur subsistance. Le chevalier de Comminges en fut averti, qui se trouva assez embarrassé avec sa petite troupe; mais il fit partir un homme pour en avertir M. de Duras, et se retrancha...