Histoire de la littérature dramatique, Volume 4Michel Lévy frères, 1855 - French drama |
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Popular passages
Page 280 - Dans ses façons d'agir il est fort singulier; Mais j'en fais, je l'avoue, un cas particulier, Et la sincérité dont son âme se pique A quelque chose en soi de noble et d'héroïque. C'est une vertu rare au siècle d'aujourd'hui, Et je la voudrais voir partout comme chez lui.
Page 277 - Si le roi m'avait donné Paris , sa grand' ville , Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie , Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris , J'aime mieux ma mie , ô gué!
Page 337 - Toutes les passions s'éloignent avec l'âge , L'une emportant son masque et l'autre son couteau , Comme un essaim chantant d'histrions en voyage Dont le groupe décroît derrière le coteau.
Page 324 - Toute ma vie l'Orient avait été le rêve de mes jours de ténèbres dans les brumes d'automne et d'hiver de ma vallée natale. Mon corps, comme mon âme, est fils du soleil; il lui faut la lumière; il lui faut ce rayon de vie que cet astre darde, non pas du sein déchiré de nos nuages d'Occident, mais du...
Page 323 - Montagnes que voilait le brouillard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière...
Page 337 - Eh bien! oubliez-nous, maison, jardin, ombrages! Herbe, use notre seuil! ronce, cache nos pas! Chantez, oiseaux! ruisseaux, coulez! croissez, feuillages! Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas.
Page 352 - Je ne dirai plus qu'un mot : il ordonnait qu'on vendît les œufs des basses-cours de ses domaines, et les herbes inutiles de ses jardins >'; et il avait distribué à ses peuples toutes les richesses des Lombards, et les immenses trésors de ces Huns qui avaient dépouillé l'univers.
Page 10 - Derrière le Commandeur, un peu plus près du feu, Germeuil est assis négligemment dans un fauteuil, un livre à la main. Il en interrompt de temps en temps la lecture pour regarder tendrement Cécile, dans les moments où elle est occupée de son jeu, et où il ne peut en être aperçu.
Page 174 - Quelquefois on l'entendait prier dans son lit. Il y eut, une des dernières nuits, quelque chose de céleste à la manière dont elle récita deux fois de suite, d'une voix forte, un cantique de Tobie applicable à sa situation , le même qu'elle avait récité à ses filles en apercevant les clochers d'Olmùtz (i).
Page 336 - Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! 31.